Ce test peut être utilisé pour évaluer la souplesse des IJ et contrairement à l’angle poplité, le SLR évalue davantage la partie distale des IJ.
Pour réaliser ce test, le patient est en décubitus dorsal. Le kinésithérapeute veille à conserver la jambe du patient droite pour éviter la rotation externe. La jambe du patient est soulevée passivement par le thérapeute tout en maintenant la cheville en position détendue tout au long du test afin de minimiser l’influence des muscles gastrocnémiens. Le kinésithérapeute place l’inclinomètre au niveau de la crête tibiale. Le test s’arrête si la jambe testée se fléchie ou si la jambe controlatérale se lève. Bien entendu, on réalisera le test des deux côtés.
Demoulin et al (2015) ont remarqué que le test SLR pourrait être plus influencé par la fonction neurodynamique que d'autres tests comme le test de l'angle poplité.
Dans leur étude en 1993, Kendall et al ont suggéré que le patient présentait une souplesse normale des ischio-jambiers lorsqu'il obtenait une flexion passive de hanche de l’ordre de 80°.
Neto, Tiago, Lia Jacobsohn, Ana Carita, and Raul Oliveira. “Reliability of the Active Knee Extension Test and the Straight Leg Raise Test in Subjects With Flexibility Deficits.” Journal of Sport Rehabilitation Technical Notes (October 30, 2014). Lien article.
Marc Vanderthommen, Christophe Demoulin. “Corrélations Entre Différents Tests Destinés à Évaluer La Souplesse Des Ischio-Jambiers.” Elsevier Masson SAS, January 17, 2015. Lien article.
Ce test peut être utilisé pour évaluer la souplesse des IJ et contrairement à l’angle poplité, le SLR évalue davantage la partie distale des IJ.
Pour réaliser ce test, le patient est en décubitus dorsal. Le kinésithérapeute veille à conserver la jambe du patient droite pour éviter la rotation externe. La jambe du patient est soulevée passivement par le thérapeute tout en maintenant la cheville en position détendue tout au long du test afin de minimiser l’influence des muscles gastrocnémiens. Le kinésithérapeute place l’inclinomètre au niveau de la crête tibiale. Le test s’arrête si la jambe testée se fléchie ou si la jambe controlatérale se lève. Bien entendu, on réalisera le test des deux côtés.
Demoulin et al (2015) ont remarqué que le test SLR pourrait être plus influencé par la fonction neurodynamique que d'autres tests comme le test de l'angle poplité.
Dans leur étude en 1993, Kendall et al ont suggéré que le patient présentait une souplesse normale des ischio-jambiers lorsqu'il obtenait une flexion passive de hanche de l’ordre de 80°.
Neto, Tiago, Lia Jacobsohn, Ana Carita, and Raul Oliveira. “Reliability of the Active Knee Extension Test and the Straight Leg Raise Test in Subjects With Flexibility Deficits.” Journal of Sport Rehabilitation Technical Notes (October 30, 2014). Lien article.
Marc Vanderthommen, Christophe Demoulin. “Corrélations Entre Différents Tests Destinés à Évaluer La Souplesse Des Ischio-Jambiers.” Elsevier Masson SAS, January 17, 2015. Lien article.