Chargement du Module EBP ! Préparez votre plus beau carnet pour prendre des notes 📘

La tendinopathie glutéale - Diagnostic & Bilan

Module EBP
Mis à jour le
22/12/2023
Fullphysio
ATTENTION !

Nous mettons toutes nos forces et tout notre coeur dans la production des Ressources disponibles sur Fullphysio pour vous aider au mieux dans votre pratique clinique.

Il est donc important que les Ressources ne soient pas diffusées hors de la plateforme. Nous vous remercions pour votre compréhension et pour votre soutien au quotidien.

Veuillez noter que l'extraction, la copie ou l'utilisation de Ressources provenant de Fullphysio est strictement interdite. Toute violation de cette règle pourra entraîner des poursuites judiciaires.
Nous vous recommandons d'utiliser un ordinateur pour parcourir les Modules EBP

2 - Diagnostic - Bilan clinique

a - Anamnèse - Entretien

Dans un premier temps, comme pour toute anamnèse, le thérapeute rassemblera les informations générales et ira à la chasse aux informations pertinentes susceptibles de guider la prise en charge.

Vous pouvez télécharger ici une fiche qui vous permet de relever certaines informations essentielles lors de l’entretient.

De manière générale, le/la patient(e) rapportera une douleur d’installation plus progressive que brutale, siégeant à la partie postérosupérieure du grand trochanter, mais irradiant volontiers à la face externe de la cuisse, parfois jusqu’à la jambe ou au pied, selon un trajet pseudoradiculaire L4 ou L5, à type de brûlure, parfois accompagnée de paresthésies non systématisées.

Une irradiation ascendante ou inguinale, ou encore des symptômes dominés par une composante distale pseudoradiculaire, sont plus trompeurs.

Le déclenchement ou l’augmentation de la douleur dans 3 circonstances : à la montée des escaliers, au décubitus homolatéral et au passage de la station assise à la station debout (la douleur disparaissant alors après quelques pas), est très évocateur et permet d’envisager le diagnostic dès l’interrogatoire. La station debout prolongée est souvent plus pénible que la marche, la douleur diminuant volontiers après quelques pas.

Attention, il sera important de faire la différence entre les douleurs nocturnes mécaniques (compression du poids du corps) et des douleurs nocturnes de type inflammatoires. Dans le cas de la tendinopathie glutéale, le patient est douloureux parce qu’il y a une compression du poids du corps et du matelas sur les tendons, ce qui suffit à réveiller le patient. En revanche, si le patient rapporte des douleurs la nuit, peu importe sa position, il peut s'agir alors d'une douleur plus grave, d’origine inflammatoire.

Les escaliers (Fearon et al. 2012) peuvent effectivement poser problème étant donné que le patient doit pousser de manière assez forte, le bassin doit être porté par la jambe qui est en charge et donc ça crée des compressions importantes au niveau de la partie latérale de la hanche. Encore une fois, ce n’est quasiment jamais la cause initiale, c’est secondaire à l’irritation qui est présente.

Marcher en montée ou en descente peut également poser problème, tout comme rester assis les jambes croisées, faire des exercices de jardinage, sortir de voiture, faire de grandes flexions qui peuvent créer des compressions, ou encore rester longtemps debout…

Ce sont là les principales activités qui peuvent rendre les patients algiques (Fearon et al. 2015).

b - Questionnaires / échelles & scores

1 - Douleur et handicap

La sévérité de la tendinopathie glutéale est couramment déterminée par les scores du questionnaire VISA G, un outil autodéclaré et spécifique à la condition (Fearon et al., 2015). Le questionnaire se compose de 8 items, abordant la douleur actuelle et pendant l'exercice et la fonction. Les scores vont de 0 à 100, les scores les plus élevés indiquant une douleur moindre et une meilleure fonction. Le VISA-G présente une bonne fiabilité test  retest (ICC 0,827 ; IC à 95 % 0,638 -0,923), une bonne cohérence interne (alpha de Cronbach 0,809 ; IC à 95 % 0,709 -0,934) et une bonne validité conceptuelle, par rapport au score de Harris pour la hanche et à l'indice d'invalidité d'Oswestry (Fearon et al., 2015).

Il est inutile de faire remplir ces questionnaires au patient à chaque séance, car la sensibilité au changement n’est pas suffisamment pertinente. De plus le patient peut se souvenir de ses réponses à la séance précédente, ce qui diminue la fiabilité.

En revanche, si lors de la première séance, on parvient à mettre en évidence une limitation importante avec ce questionnaire : par exemple, la question 4 constitue un véritable handicap chez votre patient, ça peut être intéressant de ressortir la même question de séance en séance pour connaître l'évolution du patient sur ce problème dominant. Après 6 à 12 semaines (Furiaet al. 2009 ; Kearney et al. 2013), on pourra proposer au patient de refaire le questionnaire en entier.

Dans la même idée, lorsqu’on va transmettre nos données à un médecin ou bien à un collègue, il est quand même plus intéressant de leur transmettre un score : par exemple « le patient est passé de 60/100 au VISA-G à 90/100 » plutôt que de dire « le patient va mieux » ou « il va un peu mieux ». Le questionnaire a plus de valeur et est une mesure plus valide, plus fiable.

2 - Facteurs psychologiques

Échelle de catastrophisation de la douleur (PCS)

Il s'agit d'une échelle d'auto-évaluation en 13 points qui mesure la catastrophisation de la douleur et dont la validité et la fiabilité ont été démontrées (Sullivan et Bishop, 1995). Les participants sont invités à réfléchir à leurs expériences douloureuses passées et à indiquer dans quelle mesure ils ont éprouvé chacune des 13 pensées ou sentiments lorsqu'ils ont ressenti de la douleur, sur une échelle de Likert en 5 points (0 = pas du tout, 4 = tout le temps). L'échelle de catastrophisation de la douleur est composée de trois sous-échelles évaluant la rumination, l'amplification et l'impuissance. Les scores totaux vont de 0 à 52, les scores les plus élevés reflétant des niveaux plus élevés de catastrophisation de la douleur (Sullivan et Bishop 1995).

Questionnaire d'auto-efficacité face à la douleur (PSEQ)

Ce questionnaire mesure les croyances d'une personne quant à sa capacité à s'engager dans des activités et à profiter de la vie malgré la douleur (Nicholas 2007). Il a été démontré qu'il s'agit d'une mesure valide et fiable (Tonkin 2008). Il s'agit d'un questionnaire en 10 points couvrant un éventail de fonctions, notamment les tâches ménagères, la vie sociale et le travail. Les participants répondent à chaque question sur une échelle de Likert en 7 points (0 = pas du tout confiant, 6 = tout à fait confiant). Le score total va de 0 à 60, les scores les plus élevés reflétant une plus grande efficacité personnelle (Nicholas 2007).

Questionnaire de santé du patient (PHQ-9)

Ce questionnaire en 9 points est une mesure valide et fiable de la gravité de la dépression (Kroenke et al., 2001). Le participant évalue neuf énoncés sur la dépression (0 = pas du tout, 3 = presque tous les jours). Le score total est la somme des scores des neuf items et varie de 9 à 27 points. Des scores plus élevés reflètent des niveaux plus élevés de dépression.

3 - Qualité de vie

L'EuroQoL (EQ-5D) mesure la qualité de vie liée à la santé.

Les participants évaluent leur état de santé sur cinq dimensions (mobilité, soins personnels, activités habituelles, douleur, anxiété/dépression) comme suit : pas de problème, problèmes modérés ou problèmes graves. Chaque état de santé est classé et transformé en un score d'utilité unique (Connelly 2009). Le score total va de 0 à 1, les scores les plus élevés reflétant une meilleure qualité de vie (Gusi et al., 2010).

Activité physique

La participation à une activité physique pendant les loisirs peut être mesurée par l'enquête Active Australia Survey (AAS) (Australian Institute of Health and Welfare 2004). L'AAS est une mesure populaire de l'activité en 8 points qui demande aux participants de signaler la fréquence et la durée de l'activité physique au cours de la semaine écoulée, y compris la marche, le jardinage, l'activité modérée et vigoureuse (Timperio et al., 2002). Le score total d'activité physique est calculé comme la somme des minutes passées à marcher et à pratiquer une activité modérée ou vigoureuse au cours de la semaine précédente.

c - Examen physique

1 - Batterie de tests de Grimaldi (2017)

Dans son étude en 2017, Grimaldi et al. ont effectué une série de tests standardisés lors d’un examen clinique pour détecter une tendinopathie glutéale. Les 65 participants présentaient des douleurs latérales de hanche.

Après la batterie de test, une IRM était prévu pour confirmer ou infirmer la présence d’une tendinopathie glutéale. Ils ont mis en place 6 tests cliniques et une palpation du grand trochanter. Ces tests étaient considérés comme positifs si la douleur était reproduite dans la région du grand trochanter avec un score > 2 sur l’EVA.  

Le test de FADER : le participant était couché sur le dos, la hanche était passivement fléchie à 90° puis amenée en adduction et rotation externe maximale. Ce test visait à augmenter la tension et la compression sur les tendons du moyen et du petit fessier.

Le 2ème test, appelé FADER-R, consistait à effectuer le FADER et en fin d’amplitude, on demandait au participant d’effectuer une rotation interne isométrique à laquelle le thérapeute résistait. Ce test était conçu pour augmenter la tension et compression du tendon du petit et du moyen fessier qui, dans cette position, sont des rotateurs internes (Delp et al. 1999).

Le 3ème test était le FABER, dans lequel la malléole latérale de la jambe testée était placée au-dessus de la patella de la jambe controlatérale. Le thérapeute fixait le bassin en posant une main sur l’épine iliaque antéro-supérieure controlatérale, puis, avec son autre main, abaissait doucement le genou vers la table provoquant ainsi une abduction et une rotation externe de hanche. Ce test visait à mettre en tension les portions antérieures du petit et du moyen fessier, étant donné que ceux-ci ont une fonction de rotation interne dans cette position (Delp et al. 1999).

Le 4ème test était l’adduction passive de hanche en couché latéral (ADD). Le participant était allongé en diagonale sur la table. La hanche et le genou de la jambe du dessous, donc de la jambe saine, étaient fléchis de 80 à 90°. Le membre inférieur du dessus était soutenu par le thérapeute, genou tendu, en rotation neutre, en gardant le fémur aligné avec le tronc (0° d’extension de hanche). Les épines iliaques antéro-supérieures ont été maintenues perpendiculairement à la table d’examen. L’examinateur a déplacé la hanche dans le plan frontal pur pour réaliser une adduction de hanche jusqu’à la fin d’amplitude, à laquelle il ajoutait une surpression tout en stabilisant le bassin avec l’autre main. Ce test place les insertions latérales des tendons fessiers en tension et en compression.

Le 5ème test (ADD-R) consistait à faire la même chose que le test précédant à la différence qu’il a été demandé au participant d’effectuer, enfin d’amplitude d’adduction de hanche, une poussée de la cuisse vers le haut contre la résistance de la main de l’examinateur placée sur le côté du genou. Cela ajoute une composante de tension active à la tension et à la compression passive.

Le 6ème test était le Single Leg Stance (SLS). Le participant se tenait à côté d’un mûr avec le membre pathologique le plus éloigné du mur. Pour garder l’équilibre, le patient était autorisé à poser un doigt du côté non affecté sur le mur, à hauteur de l’épaule. Le patient a ensuite relevé le pied le plus proche du mur de manière à ce que la hanche reste en position neutre et que le genou soit fléchit à 90°. Cette position a été maintenue 30 secondes. Le test était positif s’il reproduisait les symptômes du patient dans les 30 secondes (Lequesne et al. 2008).

Enfin pour la palpation, le participant était positionné sur le côté sain, les hanches fléchies à environ 60° et les genoux joints.

Un diagnostic clinique positif était indiqué si le participant présentait une palpation douloureuse et 1 test ou plus positif.

Quels ont été les résultats ? Sur les 65 participants, 52% ont eu un diagnostic clinique positif alors que 77% présentaient une tendinopathie glutéale à l’IRM. Suite au diagnostic clinique, il y avait 46% de vrais positifs, 16,9% de vrais négatifs, 6% de faux positifs et 30,7% de faux négatifs.

L’examen clinique avait une sensibilité et une spécificité modérée (60% et 73% respectivement). La palpation sur le grand trochanter était le principal critère diagnostique avec la sensibilité et la précision la plus élevée mais avec la spécificité la plus basse. Sur les 65 participants, il y a eu 40 tests de palpation véritablement positifs c’est-à-dire positifs lors de la palpation avec une confirmation de la tendinopathie glutéale à l’IRM ; et seulement 8 faux positifs, c’est-à-dire avec une palpation positive mais pas de tendinopathie détectée à l’IRM.  La palpation présentait le LR négatif le plus bas (0,43), ce qui indique que si la palpation était négative lors des tests cliniques, elle était le meilleur de tous les tests individuels utilisés dans l’étude pour exclure la présence d’une tendinopathie glutéale.

Contrairement à la palpation, chacun des autres tests cliniques a montré une spécificité élevée (SLS 100% à FABER 80%). Le SLS avait une spécificité de 100%, une sensibilité de 38% et une valeur prédictive positive de 100%, ce qui indique que si le test était positif, il y avait une probabilité extrêmement élevée que la tendinopathie glutéale soit présente sur l’IRM.

Concernant le FADER et l’ADD, on s’est rendu compte que lorsque la contraction musculaire contre résistance était ajoutée à chacun de ces tests, la sensibilité et la spécificité de ces tests se sont améliorées.

Lorsqu’un patient se plaint d’une douleur latérale de hanche, on peut lui demander d’effectuer un squat unipodal (Kivlan et al. 2012 ; Dimattia et al. 2005 ; Crossley et al. 2011) et observer ce qu’il se passe au niveau du bassin.

Si on observe un shift du bassin important, on peut facilement imaginer que dans d’autres situations de la vie de tous les jours, le patient présentera le même angle entre le bassin et le fémur. Il fera la même chose en marchant, en courant, en montant les escaliers, en se levant… Il y a énormément de situations qui sont comparables au squat unipodal dans la vie de tous les jours.

Comme nous l’avons déjà mentionné, il ne faut pas retenir que ce type de mouvement représente un facteur de risque de cette pathologie. Il se peut tout à fait que ce soit une conséquence de la pathologie (Allison et al. 2016 ; Grimaldi A. 2018). Il est en effet possible que la zone douloureuse au niveau de la partie latérale de hanche ait « inhibée » les fessiers. Le thérapeute pourra évaluer les abducteurs de hanche en force et en endurance.

De manière transitoire, il sera important que le patient prenne conscience des positions "à risque" de compression afin de les limiter en début de rééducation. Il peut également être intéressant de filmer le patient, lui montrer son positionnement et lui apprendre à le corriger.

Bibliographie

Allison, Kim, Bill Vicenzino, Tim V. Wrigley, AlisonGrimaldi, Paul W. Hodges, et Kim L. Bennell. « Hip Abductor MuscleWeakness in Individuals with Gluteal Tendinopathy ». Medicine andScience in Sports and Exercise 48, no 3 (mars 2016): 346‑52.

Almekinders,Louis C., Paul S. Weinhold, et Nicola Maffulli. « Compression Etiology inTendinopathy ». Clinics in Sports Medicine 22, no 4(octobre 2003): 703‑10.

Alvarez-Nemegyei,Jose, et Juan J. Canoso. « Evidence-BasedSoft Tissue Rheumatology: III: Trochanteric Bursitis ». Journal ofClinical Rheumatology: Practical Reports on Rheumatic & MusculoskeletalDiseases 10, no 3 (juin 2004): 123‑24.

Anderson,K., S. M. Strickland, et R. Warren. « Hip and Groin Injuries inAthletes ». The American Journal of Sports Medicine 29, no4 (août 2001): 521‑33.

Bancroft,Laura W., et Donna G. Blankenbaker. « Imaging of the Tendons About the Pelvis ». AmericanJournal of Roentgenology 195, no 3 (1 septembre 2010): 605‑17.

Birnbaum,K., et T. Pandorf. « FiniteElement Model of the Proximal Femur under Consideration of the Hip CentralizingForces of the Iliotibial Tract ». Clinical Biomechanics (Bristol, Avon)26, no 1 (janvier 2011): 58‑64.

Birnbaum,K., C. H. Siebert, T. Pandorf, E. Schopphoff, A. Prescher, et F. U. Niethard.« Anatomical and Biomechanical Investigations of the IliotibialTract ». Surgical and Radiologic Anatomy 26, no 6 (1décembre 2004): 433‑46.

Birnbaum,Klaus, Andreas Prescher, et Fritz-Uwe Niethard. « Hip Centralizing Forcesof the Iliotibial Tract within Various Femoral Neck Angles ». Journalof Pediatric Orthopedics. Part B 19, no 2 (mars 2010): 140‑49.

Blankenbaker,Donna G., Steven R. Ullrick, Kirkland W. Davis, Arthur A. De Smet, Ben Haaland,et Jason P. Fine. « Correlation of MRI Findings with Clinical Findings ofTrochanteric Pain Syndrome ». Skeletal Radiology 37, no10 (octobre 2008): 903‑9.

Bonello, Christian, Michael Girdwood, Keith De Souza, Nicola K. Trinder, Jeremy Lewis, Stephanie L. Lazarczuk, Jamie E. Gaida, Sean I. Docking, et Ebonie K. Rio. « Does Isometric Exercise Result in Exercise Induced Hypoalgesia in People with Local Musculoskeletal Pain? A Systematic Review ». Physical Therapy in Sport 49 (1 mai 2021): 51‑61.

Brukner P, Khan K. Brukner& Khan’s Clinical Sports Medicine. 4th ed. New York, NY: McGrawHill; 2011

Clancy, W. G. « Runners’ Injuries. Part Two.Evaluation and Treatment of Specific Injuries ». The American Journalof Sports Medicine 8, no 4 (août 1980): 287‑89.

Coleman,Robert E. « Clinical Features of Metastatic Bone Disease and Risk ofSkeletal Morbidity ». Clinical Cancer Research: An Official Journal ofthe American Association for Cancer Research 12, no 20 Pt 2 (15octobre 2006): 6243s‑49.

Collée,G., B. A. Dijkmans, J. P. Vandenbroucke, et A. Cats. « Greater Trochanteric Pain Syndrome(Trochanteric Bursitis) in Low Back Pain ». Scandinavian Journal ofRheumatology 20, no 4 (1991): 262‑66.

Connell,David A., Cheryl Bass, Christopher J. Sykes, David Young, et Elton Edwards.« Sonographic Evaluation of Gluteus Medius and MinimusTendinopathy ». European Radiology 13, no 6 (1 juin2003): 1339‑47.

Cook,J. L., S. L. Bass, et J. E. Black. « Hormone Therapy Is Associated withSmaller Achilles Tendon Diameter in Active Post-Menopausal Women ». ScandinavianJournal of Medicine & Science in Sports 17, no 2 (avril2007): 128‑32.

Cook,J. L., et C. Purdam. « IsCompressive Load a Factor in the Development of Tendinopathy? » BritishJournal of Sports Medicine 46, no 3 (1 mars 2012): 163‑68.

Cook,J. L., et C. R. Purdam. « IsTendon Pathology a Continuum? A Pathology Model to Explain the ClinicalPresentation of Load-Induced Tendinopathy ». British Journal of SportsMedicine 43, no 6 (juin 2009): 409‑16.

———.« The Challenge of Managing Tendinopathy in Competing Athletes ». BritishJournal of Sports Medicine 48, no 7 (avril 2014): 506‑9.

Cook,J. L., E. Rio, C. R. Purdam, et S. I. Docking. « Revisiting the ContinuumModel of Tendon Pathology: What Is Its Merit in Clinical Practice andResearch? » British Journal of Sports Medicine 50, no 19(1 octobre 2016): 1187‑91.

Coombes,Brooke K., Leanne Bisset, et Bill Vicenzino. « Efficacy and Safety ofCorticosteroid Injections and Other Injections for Management of Tendinopathy:A Systematic Review of Randomised Controlled Trials ». Lancet (London,England) 376, no 9754 (20 novembre 2010): 1751‑67.

Crossley,Kay M., Wan-Jing Zhang, Anthony G. Schache, Adam Bryant, et Sallie M. Cowan.« Performance on the Single-Leg Squat Task Indicates Hip Abductor MuscleFunction ». The American Journal of Sports Medicine 39, no4 (avril 2011): 866‑73.

DelBuono, Angelo, Rocco Papalia, Vikas Khanduja, Vincenzo Denaro, et NicolaMaffulli. « Management of the Greater Trochanteric Pain Syndrome: ASystematic Review ». British Medical Bulletin 102 (juin 2012): 115‑31.

Delp,S. L., W. E. Hess, D. S. Hungerford, et L. C. Jones. « Variation ofRotation Moment Arms with Hip Flexion ». Journal of Biomechanics32, no 5 (mai 1999): 493‑501.

DiMattia,Mario, Ann Livengood, Tim Uhl, Carl Mattacola, et Terry Malone. « What Arethe Validity of the Single-Leg-Squat Test and Its Relationship to Hip-AbductionStrength? » Journal of Sport Rehabilitation 14 (1 mai 2005).

Dwek,Jerry, Christian Pfirrmann, Anthony Stanley, Mini Pathria, et Christine B.Chung. « MR Imaging of the Hip Abductors: Normal Anatomy and CommonlyEncountered Pathology at the Greater Trochanter ». Magnetic ResonanceImaging Clinics of North America, MR Imaging of the Hip, 13, no4 (1 novembre 2005): 691‑704.

Fearon,A. M., C. Ganderton, J. M. Scarvell, P. N. Smith, T. Neeman, C. Nash, et J. L.Cook. « Development and Validation of a VISA Tendinopathy Questionnairefor Greater Trochanteric Pain Syndrome, the VISA-G ». Manual Therapy20, no 6 (1 décembre 2015): 805‑13.

Fearon,A. M., J. M. Scarvell, J. L. Cook, et P. N. Smith. « Does Ultrasound Correlatewith Surgical or Histologic Findings in Greater Trochanteric Pain Syndrome? APilot Study ». Clinical Orthopaedics and Related Research 468, no7 (juillet 2010): 1838‑44.

Fearon,A. M., S. Stephens, J. L. Cook, P. N. Smith, T. Neeman, W. Cormick, et J. M.Scarvell. « The Relationship of Femoral Neck Shaft Angle and Adiposity toGreater Trochanteric Pain Syndrome in Women. A Case Control Morphology and AnthropometricStudy ». British Journal of Sports Medicine 46, no 12 (1septembre 2012): 888‑92.

Fearon,Angela M., Jill L. Cook, Jennie M. Scarvell, Teresa Neeman, Wes Cormick, etPaul N. Smith. « Greater Trochanteric Pain Syndrome Negatively AffectsWork, Physical Activity and Quality of Life: A Case Control Study ». TheJournal of Arthroplasty 29, no 2 (1 février 2014): 383‑86.

Ferber,Reed, Karen D. Kendall, et Lindsay Farr. « Changes in Knee Biomechanicsafter a Hip-Abductor Strengthening Protocol for Runners with PatellofemoralPain Syndrome ». Journal of Athletic Training 46, no 2(avril 2011): 142‑49.

Frizziero,Antonio, Filippo Vittadini, Giuseppe Gasparre, et Stefano Masiero.« Impact of Oestrogen Deficiency and Aging on Tendon: ConciseReview ». Muscles, Ligaments and Tendons Journal 4, no 3(juillet 2014): 324‑28.

Furia,John P., Jan D. Rompe, et Nicola Maffulli. « Low-Energy ExtracorporealShock Wave Therapy as a Treatment for Greater Trochanteric PainSyndrome ». The American Journal of Sports Medicine 37, no9 (septembre 2009): 1806‑13.

Ganderton,Charlotte, Adam Semciw, Jill Cook, et Tania Pizzari. « Does MenopausalHormone Therapy (MHT), Exercise or a Combination of Both, Improve Pain andFunction in Post-Menopausal Women with Greater Trochanteric Pain Syndrome(GTPS)? A Randomised Controlled Trial ». BMC Women’s Health 16 (16juin 2016): 32.

Ganderton, Charlotte, Adam Semciw, Jill Cook, Euler Moreira, et Tania Pizzari. « Gluteal Loading Versus Sham Exercises to Improve Pain and Dysfunction in Postmenopausal Women with Greater Trochanteric Pain Syndrome: A Randomized Controlled Trial ». Journal of Women’s Health (2002) 27, no 6 (juin 2018): 815‑29.

Gibbon,W. W., J. R. Cooper, et G. S. Radcliffe. « Distribution of Sonographically Detected TendonAbnormalities in Patients with a Clinical Diagnosis of Chronic AchillesTendinosis ». Journal of Clinical Ultrasound: JCU 28, no2 (février 2000): 61‑66.

Grimaldi,Alison. « Assessing Lateral Stability of the Hip and Pelvis ». ManualTherapy 16, no 1 (février 2011): 26‑32.

Grimaldi,Alison, et Angela Fearon. « Gluteal Tendinopathy: IntegratingPathomechanics and Clinical Features in Its Management ». Journal ofOrthopaedic & Sports Physical Therapy 45, no 11 (17septembre 2015): 910‑22.

Grimaldi,Alison, Rebecca Mellor, Paul Hodges, Kim Bennell, Henry Wajswelner, et BillVicenzino. « Gluteal Tendinopathy: A Review of Mechanisms, Assessment andManagement ». Sports Medicine (Auckland, N.Z.) 45, no 8(août 2015): 1107‑19.

Grimaldi Alison, Understanding Tendinopathy of the hip& pelvis. Book2(2018), p28.

Hart, Lawrence. « Corticosteroid and OtherInjections in the Management of Tendinopathies:  A Review ». ClinicalJournal of Sport Medicine: Official Journal of the Canadian Academy of SportMedicine 21, no 6 (novembre 2011): 540‑41.

Kearney,R. S., N. Parsons, et M. L. Costa. « Achilles Tendinopathy Management: A Pilot Randomised ControlledTrial Comparing Platelet-Richplasma Injection with an Eccentric LoadingProgramme ». Bone & Joint Research 2, no 10 (2013):227‑32.

Khan,K. M., P. J. Visentini, Z. S. Kiss, P. M. Desmond, B. D. Coleman, J. L. Cook,B. M. Tress, J. D. Wark, et B. B. Forster. « Correlation of Ultrasound andMagnetic Resonance Imaging with Clinical Outcome after Patellar Tenotomy:Prospective and Retrospective Studies. Victorian Institute of Sport TendonStudy Group ». Clinical Journal of Sport Medicine: Official Journal ofthe Canadian Academy of Sport Medicine 9, no 3 (juillet 1999):129‑37.

Kivlan,Benjamin R., et RobRoy L. Martin. « FUNCTIONAL PERFORMANCE TESTING OF THE HIP IN ATHLETES: ASYSTEMATIC REVIEW FOR RELIABILITY AND VALIDITY ». International Journalof Sports Physical Therapy 7, no 4 (août 2012): 402‑12.

Kivlan,Benjamin R., et Robroy L. Martin. « Functional Performance Testing of theHip in Athletes: A Systematic Review for Reliability and Validity ». InternationalJournal of Sports Physical Therapy 7, no 4 (août 2012): 402‑12.

Kong,Andrew, Andrew Van der Vliet, et Steven Zadow. « MRI and US of GlutealTendinopathy in Greater Trochanteric Pain Syndrome ». EuropeanRadiology 17, no 7 (1 juillet 2007): 1772‑83.

Kongsgaard,M., V. Kovanen, P. Aagaard, S. Doessing, P. Hansen, A. H. Laursen, N. C.Kaldau, M. Kjaer, et S. P. Magnusson. « Corticosteroid Injections,Eccentric Decline Squat Training and Heavy Slow Resistance Training in PatellarTendinopathy ». Scandinavian Journal of Medicine & Science inSports 19, no 6 (décembre 2009): 790‑802.

Kongsgaard,Mads, Klaus Qvortrup, Jytte Larsen, Per Aagaard, Simon Doessing, Philip Hansen,Michael Kjaer, et S. Peter Magnusson. « Fibril Morphology and TendonMechanical Properties in Patellar Tendinopathy: Effects of Heavy SlowResistance Training ». The American Journal of Sports Medicine 38,no 4 (avril 2010): 749‑56.

Kumagai,Masaru, Naoto Shiba, Fujio Higuchi, Hiroshi Nishimura, et Akio Inoue.« Functional Evaluation of Hip Abductor Muscles with Use of MagneticResonance Imaging ». Journal of Orthopaedic Research 15, no6 (1997): 888‑93.

Kummer,B. « Is the Pauwels’ Theory of Hip Biomechanics Still Valid? A CriticalAnalysis, Based on Modern Methods ». Annals of Anatomy = AnatomischerAnzeiger: Official Organ of the Anatomische Gesellschaft 175, no3 (juin 1993): 203‑10.

Labrosse,Julie M., Étienne Cardinal, Bernard E. Leduc, Jacques Duranceau, JeanRémillard, Nathalie J. Bureau, Assia Belblidia, et Paul Brassard. « Effectiveness of Ultrasound-GuidedCorticosteroid Injection for the Treatment of Gluteus MediusTendinopathy ». American Journal of Roentgenology 194, no1 (1 janvier 2010): 202‑6.

Lequesne,M., P. Mathieu, V. Vuillemin‐Bodaghi, H. Bard, et P. Djian. « Gluteal Tendinopathy in Refractory GreaterTrochanter Pain Syndrome: Diagnostic Value of Two Clinical Tests ». ArthritisCare & Research 59, no 2 (2008): 241‑46.

Lequesne,Michel, Patrick Djian, Valérie Vuillemin, et Philippe Mathieu.« Prospective Study of Refractory Greater Trochanter Pain Syndrome. MRIFindings of Gluteal Tendon Tears Seen at Surgery. Clinical and MRI Results ofTendon Repair ». Joint Bone Spine 75, no 4 (1 juillet2008): 458‑64.

Lievense,Annet, Sita Bierma-Zeinstra, Boris Schouten, Arthur Bohnen, Jan Verhaar, etBart Koes. « Prognosis of trochanteric pain in primary care ». TheBritish Journal of General Practice 55, no 512 (1 mars 2005):199‑204.

Maffulli,N., S. W. Waterston, J. Squair, J. Reaper, et A. S. Douglas. « ChangingIncidence of Achilles Tendon Rupture in Scotland: A 15-Year Study ». ClinicalJournal of Sport Medicine: Official Journal of the Canadian Academy of SportMedicine 9, no 3 (juillet 1999): 157‑60.

Magnusson,S. Peter, Henning Langberg, et Michael Kjaer. « The Pathogenesis ofTendinopathy: Balancing the Response to Loading ». Nature Reviews.Rheumatology 6, no 5 (mai 2010): 262‑68.

Mascaró,Alfons, Miquel Àngel Cos, Antoni Morral, Andreu Roig, Craig Purdam, et JillCook. « Load Management in Tendinopathy: Clinical Progression for Achillesand Patellar Tendinopathy ». Apunts. Medicina de l’Esport 53, no197 (1 janvier 2018): 19‑27.

Mellor,Rebecca, Alison Grimaldi, Henry Wajswelner, Paul Hodges, J. Haxby Abbott, KimBennell, et Bill Vicenzino. « Exercise and load modification versuscorticosteroid injection versus ‘wait and see’ for persistent gluteusmedius/minimus tendinopathy (the LEAP trial): a protocol for a randomisedclinical trial ». BMC Musculoskeletal Disorders 17 (30 avril 2016).

Moalli,P. A., L. C. Talarico, V. W. Sung, W. L. Klingensmith, S. H. Shand, L. A. Meyn,et S. C. Watkins. « Impact of Menopause on Collagen Subtypes in the ArcusTendineous Fasciae Pelvis ». American Journal of Obstetrics andGynecology 190, no 3 (mars 2004): 620‑27.

Naugle,Kelly M., Roger B. Fillingim, et Joseph L. Riley. « A Meta-Analytic Reviewof the Hypoalgesic Effects of Exercise ». The Journal of Pain 13, no12 (décembre 2012): 1139‑50.

Pfirrmann,Christian W. A., Hubert P. Notzli, Claudio Dora, Juerg Hodler, et MarcoZanetti. « Abductor Tendons and Muscles Assessed at MR Imaging after TotalHip Arthroplasty in Asymptomatic and Symptomatic Patients ». Radiology235, no 3 (juin 2005): 969‑76.

Rio,Ebonie, Dawson Kidgell, Craig Purdam, Jamie Gaida, G. Lorimer Moseley, Alan J.Pearce, et Jill Cook. « Isometric Exercise Induces Analgesia and ReducesInhibition in Patellar Tendinopathy ». British Journal of SportsMedicine 49, no 19 (octobre 2015): 1277‑83. h

Rompe,Jan D., Neil A. Segal, Angelo Cacchio, John P. Furia, Antonio Morral, et NicolaMaffulli. « Home Training, Local Corticosteroid Injection, or Radial ShockWave Therapy for Greater Trochanter Pain Syndrome ». The AmericanJournal of Sports Medicine 37, no 10 (1 octobre 2009): 1981‑90.

Rudavsky,Aliza, et Jill Cook. « Physiotherapy Management of Patellar Tendinopathy(Jumper’s Knee) ». Journal of Physiotherapy 60, no 3(septembre 2014): 122‑29.

Rybicki,E. F., F. A. Simonen, et E. B. Weis. « On the Mathematical Analysis of Stress in the Human Femur ».Journal of Biomechanics 5, no 2 (mars 1972): 203‑15.

Sayegh,Fares, Michael Potoupnis, et George Kapetanos. « Greater TrochanterBursitis Pain Syndrome in Females with Chronic Low Back Pain andSciatica ». Acta Orthopaedica Belgica 70, no 5 (octobre2004): 423‑28.

Segal,Neil A., David T. Felson, James C. Torner, Yanyan Zhu, Jeffrey R. Curtis,Jingbo Niu, et Michael C. Nevitt. « Greater Trochanteric PainSyndrome: Epidemiology and Associated Factors ». Archives of physicalmedicine and rehabilitation 88, no 8 (août 2007): 988‑92.

Segal,Neil A, William Harvey, David T Felson, Mei Yang, James C Torner, Jeffrey RCurtis, et Michael C Nevitt. « Leg-length inequality is not associatedwith greater trochanteric pain syndrome ». Arthritis Research &Therapy 10, no 3 (2008): R62.

Silbernagel,Karin Grävare, Roland Thomeé, Bengt I. Eriksson, et Jon Karlsson.« Continued Sports Activity, Using a Pain-Monitoring Model, duringRehabilitation in Patients with Achilles Tendinopathy: A Randomized ControlledStudy ». The American Journal of Sports Medicine 35, no6 (1 juin 2007): 897‑906.

Silva,Fernando, Thomas Adams, Jeffery Feinstein, et Ramon A. Arroyo. « TrochantericBursitis: Refuting the Myth of Inflammation ». Journal of ClinicalRheumatology: Practical Reports on Rheumatic & Musculoskeletal Diseases14, no 2 (avril 2008): 82‑86.

Sim FH, , ScottSG.  Injuries of the pelvis and hip in athletes: anatomy andfunction. In: Nicholas JA, and Hershman EB, eds. TheLower Extremity and Spine in Sports Medicine. St Louis, MO: Mosby; 1986: 1119– 1169.

Sutter, Reto, Fabian Kalberer, Christoph A. Binkert,Nicole Graf, Christian W. A. Pfirrmann, et Andreas Gutzeit. « AbductorTendon Tears Are Associated with Hypertrophy of the Tensor Fasciae LataeMuscle ». Skeletal Radiology 42, no 5 (1 mai 2013):627‑33.

Tortolani,P. Justin, John J. Carbone, et Louis G. Quartararo. « Greater Trochanteric Pain Syndrome in PatientsReferred to Orthopedic Spine Specialists ». The Spine Journal: OfficialJournal of the North American Spine Society 2, no 4 (août 2002):251‑54.

Viradia,Neal K., Alex A. Berger, et Laurence E. Dahners. « Relationship between Width of GreaterTrochanters and Width of Iliac Wings in Tronchanteric Bursitis ». AmericanJournal of Orthopedics (Belle Mead, N.J.) 40, no 9 (septembre2011): E159-162.

Willy,Richard W., et Irene S. Davis. « TheEffect of a Hip-Strengthening Program on Mechanics During Running and During aSingle-Leg Squat ». Journal of Orthopaedic & Sports PhysicalTherapy 41, no 9 (1 septembre 2011): 625‑32.

Woodley,Stephanie J., Helen D. Nicholson, Vicki Livingstone, Terence C. Doyle, Grant R.Meikle, Janet E. Macintosh, et Susan R. Mercer. « Lateral Hip Pain:Findings From Magnetic Resonance Imaging and Clinical Examination ». Journalof Orthopaedic & Sports Physical Therapy 38, no 6 (1 juin2008): 313‑28.

Woyski,Dustin, Anthony Olinger, et Barth Wright. « Smaller Insertion Area andInefficient Mechanics of the Gluteus Medius in Females ». Surgical andRadiologic Anatomy: SRA 35, no 8 (octobre 2013): 713‑19.

Passez en Illimité pour accéder à cette ressource !
Fullphysio Illimité c'est aussi :
+2250 ressources pour optimiser votre pratique clinique
De nouvelles ressources ajoutées chaque semaine
Des mises à jour en fonction des nouveautés scientifique pour rester à la pointe dans votre pratique clinique
Des avantages tarifaires sur tous les programmes de formation continue de Fullphysio Academy
En savoir plus
Découvrez aussi...
Poignet : Renforcement des doigts avec pronation.supinationPoignet : Renforcement des doigts avec pronation.supination
Exercice
Renforcement des doigts avec pronation.supination
NOUVEAU !
Coude : Renforcement triceps avec tirage au dessus de la têteCoude : Renforcement triceps avec tirage au dessus de la tête
Exercice
Renforcement triceps avec tirage au dessus de la tête
NOUVEAU !
Décoaptation de l'articulation trapézo-métacarpienneDécoaptation de l'articulation trapézo-métacarpienne
Thérapie manuelle
Décoaptation de l'articulation trapézo-métacarpienne
NOUVEAU !
Coude : Renforcement biceps unilatéralCoude : Renforcement biceps unilatéral
Exercice
Renforcement biceps unilatéral
NOUVEAU !
Toutes les ressourcesToutes les ressources